Marie Stuart à Gênes

 

 

 

La saison 2016 / 2017 des "Amis de l'Opéra Grenoble" se termine à Gênes  avec "Marie Stuart" de Donizetti.

 

 

 

Maria Stuarda 

 


Opéra tragique en deux actes 


Livret de Giuseppe Bardari 
Musique de Gaetano Donizetti 

 


Chef d' orchestre Andriy Yurkevych 
Coproduction entre Fondazione Teatro Carlo Felice et Fondazione Teatro Regio di Parma 
Directeur, Alfonso Antoniozzi 
Directeur adjoint, Sergio Paladino 
Mise en scène, Monica Manganelli 
Costumes, Gianluca Falaschi 
Costumes adjoints, Anna Missaglia 
Lumières, Luciano Novelli

Orchestre et Chœurs du Teatro Carlo Felice 
Chef des chœurs, Franco Sebastiani

Personnages et interprètes: 

 


Maria Stuarda, reine d'Ecosse :               Elena Mosuc
Elizabeth, reine d'Angleterre :                  Silvia Tro Santafe
Roberto, comte de Leicester :                   Celso Albelo
Giorgio Talbot :                                              Concepts Andrea 
Seigneur Guglielmo Cecil :                        Stefano Antonucci 
Anna Kennedy :                                             
Alessandra Palomba

 

On a coutume de désigner sous le nom de "Trilogie Tudor" les trois opéras que Donizetti consacra aux reines anglaises - Anna Bolena (1830), Maria Stuarda (1834) et Roberto Devereux (1837) - une appellation justifiée (même si ce regroupement est étranger à Donizetti) dans la mesure où des personnages récurrents, à commencer par la reine Elisabeth 1ère, apparaissent dans les trois oeuvres. Inspirée de Schiller, la Marie Stuart de Donizetti se concentre sur la toute fin de la vie de la reine d'Ecosse, captive depuis de longues années de sa rivale. La passion de la reine Elisabeth pour le comte de Leicester, lui même amoureux transi de Marie Stuart, précipitant le dénouement tragique. Censurée au royaume de Naples (mettre en scène l'exécution d'une reine !), mal reçue à Milan, Maria Stuarda peinera à s'imposer en dépit des qualités musicales et dramatiques incontestables, comme le montrera la reprise au Festival d'Edimbourg en 1967 qui signa la résurrection moderne de l'oeuvre. L'opéra reposant presque uniquement sur l'affrontement des deux reines, il faut pour ces deux rôles des titulaires d'exception.

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